La recherche sur la santé des Autochtones au Canada
Lundi 5 juin 2017 de 15 h 30 à 18 h 30
Salon du Président, pièce CB-216-N, édifice du Centre, colline du Parlement, Ottawa (Ontario)
Cet événement est sur invitation seulement.
Pour voir des photos et des renseignements sur des événements antérieurs, voir la section réservée au Comité sur la recherche en santé sous « Promotion »
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Des chercheurs en santé autochtones du Canada, des partenaires communautaires et des utilisateurs de cette recherche partout au pays ont pour but de réduire l’écart entre la santé et le bien-être des peuples autochtones du Canada et les autres Canadiens. Ces champions de la recherche sur la santé des Autochtones se penchent sur des problèmes de santé critiques de ce segment de la population, comme le taux de mortalité infantile dans les réserves indiennes qui atteint 14 décès par 1 000 naissances, soit près du double de la moyenne nationale; l’espérance de vie chez les Inuits qui est inférieure de 15 ans à la moyenne canadienne; et les taux de suicide parmi les jeunes Autochtones qui sont jusqu’à 11 fois plus élevés que la moyenne nationale.
Les chercheurs qui se vouent à la recherche sur les problèmes de santé des Autochtones nous aident aussi à comprendre le risque supérieur que courent les Canadiens autochtones de développer le diabète et ses complications, ainsi que le risque accru de contracter la tuberculose dans les communautés autochtones. L’hépatite C, le VIH/sida et le cancer sont d’autres maladies importantes sur lesquelles se penchent ces chercheurs.
L’événement consacré à la recherche sur la santé des Autochtones au Canada dont le Comité parlementaire sur la recherche en santé sera l’hôte présentera des recherches de pointe que mènent des chercheurs métis, inuits, des Premières Nations et non-autochtones en collaboration avec des communautés autochtones du Canada. Il stimulera la recherche sur la santé des Autochtones, créera de nouvelles connaissances, et soutiendra les partenariats en recherche et la participation des communautés autochtones et des utilisateurs de cette recherche aux études sur la santé de ce segment de la population canadienne.
Voici les thèmes de la recherche sur la santé des Autochtones qui seront abordés lors de cet événement :
1. Le bien-être des enfants et des familles
2. Les interventions et programmes relatifs à l’environnement
3. Le bien-être mental
4. Les maladies chroniques chez les peuples autochtones
5. Le renforcement de la capacité de recherche, dans les collectivités et dans le système de santé pour les peuples autochtones
Cet événement réunira jusqu’à 20 chercheurs autochtones et non autochtones de toutes les régions du Canada qui font de la recherche sur ces cinq thèmes. Ils auront l’occasion de s’entretenir en personne avec les parlementaires et de les renseigner sur leur recherche.
Le bien-être des enfants et des familles
- Margo Greenwood, Ph.D.
- Naana Jumah, D. Sc. A., M.D., D.Phil., FRCSC
- Margot Latimer, inf. aut., Ph. D.
- Sharon Rudderham, B.A.
Margo Greenwood, Ph.D.
Margo Greenwood, leader académique du Centre de collaboration nationale de la santé autochtone, est une universitaire autochtone de descendance crie qui fait de la recherche depuis de nombreuses années sur la santé et le bien-être des enfants, des familles et des communautés autochtones. Bien que ses travaux universitaires recoupent plusieurs disciplines et secteurs, Mme Greenwood est surtout reconnue à l’échelle régionale, provinciale, nationale et internationale pour son travail en protection et éducation de la petite enfance et en santé publique chez les Autochtones.
Naana Jumah, D. Sc. A., M.D., D.Phil., FRCSC
Naana Jumah est une obstétricienne et gynécologue ainsi qu’une scientifique clinicienne à l’Institut régional de recherche en santé de Thunder Bay (IRRSTB). La recherche et la pratique clinique de la Dre Jumah sont axées sur la santé et la toxicomanie chez les Autochtones pendant la grossesse. Au moyen d’une série d’études intégrées, elle cherche à organiser un modèle de soins qui répond aux besoins des femmes enceintes opiomanes dans le nord-ouest de l’Ontario et à améliorer les résultats pour les mères et les nouveau‑nés. La Dre Jumah détient un baccalauréat en sciences appliquées de l’Université de Toronto, un doctorat en génie médical de l’Université d’Oxford et un doctorat en médecine de l’Université de Harvard. Elle a terminé sa résidence en obstétrique et en gynécologie et une spécialisation en médecine de toxicomanie à l’Université de Toronto.
Margot Latimer, inf. aut., Ph. D.
Margot Latimer est professeure adjointe à l’École de sciences infirmières de l’Université Dalhousie ainsi que professeure au centre de recherche sur la douleur chez l’enfant du Centre de soins de santé IWK. Elle codirige l’initiative Aboriginal Children’s Hurt and Healing (ACHH), financée par les IRSC, avec la directrice de la santé d’Eskasoni, Sharon Rudderham, qui travaille en collaboration étroite avec la communauté pour mobiliser les connaissances autochtones. Mme Latimer est la directrice autochtone de la recherche en santé du réseau sur la douleur chronique de la SRAP et est également coprésidente de l’Indigenous Health Research Advisory Committee.
Sharon Rudderham, B.A.
Sharon Rudderham est directrice de la santé au Centre de santé communautaire d’Eskasoni sur l’île du Cap-Breton. Elle codirige l’initiative Aboriginal Children’s Hurt and Healing (ACHH), financée par les IRSC, avec Mme Margot Latimer, et a servi de membre du Nova Scotia Provincial Health Council. Elle a joué un rôle clé dans l’établissement du registre des liens entre clients Unama’ki (une base de données sur les soins de santé pour les cinq communautés micmaques du Cap-Breton). Mme Rudderham copréside l’Indigenous Health Research Advisory Committee.
Les interventions et programmes relatifs à l’environnement
- Malcolm King, Ph. D., FCAHS
- Karen Bakker, Ph. D.
- Chantelle A. M. Richmond, Ph. D.
- Caleb Behn (Eh-cho Dene et Dunne-Za), JD
Malcolm King, Ph. D., FCAHS
Malcolm King est un chercheur en santé des Premières Nations à l’Université Simon Fraser. De 2009 à 2016, il a été le directeur scientifique de l’Institut de la santé des Autochtones des IRSC où il a piloté l’établissement d’un programme national de recherche en santé destiné à améliorer le bien-être des Autochtones et à atteindre l’équité en santé pour les peuples autochtones du Canada. Il a reçu le Prix national d’excellence décerné aux Autochtones en 1999 et a été nommé fellow de l’Académie canadienne des sciences de la santé en 2016.
Karen Bakker, Ph. D.
Karen Bakker est professeure, titulaire d’une chaire de recherche du Canada et codirectrice du programme sur la gouvernance de l’eau à l’Université de la Colombie-Britannique. Sa recherche est axée sur l’insécurité concernant les ressources hydriques dans le monde entier, et plus précisément à l’heure actuelle, sur la régie durable de l’eau et le droit autochtone dans le Nord du Canada. Mme Bakker est une boursière de la Fondation Cecil Rhodes, un membre du Collège de nouveaux chercheurs de la Société royale et un membre du Conseil d’administration de l’Institut international du développement durable.
Chantelle A. M. Richmond, Ph. D.
Chantelle Richmond, de Biigtigong Nishnaabeg (Première Nation ojibwée de Pic River), est professeure adjointe de géographie et directrice du savoir autochtone appliqué à l’Université Western. Sa recherche s’inspire d’un modèle axé sur la communauté qui explore les recoupements entre la santé des peuples autochtones, les systèmes de connaissances et les liens avec la terre. Dans le but plus vaste d’améliorer l’équité en santé des Autochtones, Mme Richmond utilise des approches de la recherche qui renforcent les capacités des communautés autochtones de concrétiser leurs visions de l’autodétermination.
Caleb Behn (Eh-cho Dene et Dunne-Za), JD
Caleb Behn est Eh-cho Dene et Dunne-Za du traité no 8 du nord-est de la Colombie-Britannique. Il est le directeur général de « Keepers Of The Water », une organisation populaire autochtone qui se consacre à la protection des eaux du bassin arctique. Caleb est un diplômé du programme de droit de l’Université de Victoria avec concentration en droit et durabilité environnementaux. Il est le sujet d’un documentaire primé intitulé « Fractured Land ». Sa recherche actuelle porte principalement sur les s non conventionnelles, la santé des Autochtones et la gouvernance de l’eau.
Le bien-être mental
- Colleen Anne Dell, Ph.D.
- Rod McCormick, Ph.D.
- Kim Matheson, Ph.D.
- Amy Bombay, Ph.D.
- Caroline Tait, Ph.D.
Colleen Anne Dell, Ph. D.
Colleen Anne Dell est professeure et titulaire d’une chaire de recherche en santé et bien-être à l’Université de la Saskatchewan. Sa recherche se fonde sur une approche participative habilitée par les communautés. Ses sujets de recherche comprennent la relation entre l’identité et la guérison de la toxicomanie, les programmes de lutte contre la toxicomanie, les interventions à recours animalier et l’évaluation. Ses recherches portent spécifiquement sur les peuples autochtones, les femmes criminalisées et les populations qui consomment des drogues. Elle est une associée principale à la recherche au Centre canadien de lutte contre les toxicomanies.
Rod McCormick, Ph. D.
Rod McCormick (Kanienkehaka-Mohawk) est professeur et titulaire de la chaire de recherche en santé et en éducation autochtones, établie par le gouvernement de la Colombie-Britannique, à l’Université Thompson Rivers. Avant de retourner vivre dans la communauté natale de T’Kemlups te Secwepemc de son partenaire, Rod a été psychologue et professeur de psychologie du counseling à l’Université de la Colombie-Britannique pendant 18 ans. La recherche M. McCormick est axée sur le renforcement de la capacité des communautés en matière de santé mentale et de recherche, ainsi que sur la revalorisation des formes de guérison traditionnelles.
Kim Matheson, Ph. D.
Kim Matheson est une professeure et titulaire conjointe de la chaire de recherche sur la culture et les liens entre le genre et la santé mentale à l’Institut de recherche en santé mentale du Royal d’Ottawa et au Département de neuroscience de l’Université Carleton. Sa recherche porte sur les effets intergénérationnels du système des pensionnats indiens sur la santé mentale des descendants. Elle cherche, en collaboration avec les organisations et les communautés de la Nation, des approches holistiques pour promouvoir la résilience des communautés afin de permettre à leurs jeunes de s’épanouir.
Amy Bombay, Ph. D.
Les activités de recherche d’Amy Bombay ont surtout porté sur les liens entre les traumatismes historiques, l’exposition contemporaine aux facteurs de stress, et la santé mentale et le bien-être des peuples autochtones, ainsi que sur le rôle important que joue l’identité culturelle dans le bien-être. Sa recherche examinant les différents moyens par lesquels les traumatismes des pensionnats indiens sont transmis d’une génération à l’autre a eu une influence toute particulière dans l’éducation du public concernant les effets à long terme de la colonisation, ainsi que dans l’établissement de politiques et de pratiques liées à la santé des Autochtones.
Caroline Tait, Ph. D.
Caroline Tait est professeure au Département de psychiatrie de l’Université de la Saskatchewan et elle codirige le Réseau canadien de recherche et intervention sur la dépression avec le Dr William Mussell de First Peoples First Person, un réseau de recherche national sur les Autochtones. Mme Tait est titulaire d’un doctorat de l’Université McGill en anthropologie médicale. Elle est membre de la Métis Nation of Saskatchewan et a fait de la recherche communautaire sur la santé en partenariat avec des communautés et organisations de Métis et de Premières Nations au cours des 20 dernières années.
Les maladies chroniques chez les peuples autochtones
- Gonzalo G. Alvarez MD, MPH, FRCPC
- Jeffrey L. Reading M. Sc., Ph. D., FCAHS
- Mary Smith, candidate au D. Psy.
- Deborah Van Dyk, inf. aut., M. Sc. Inf.
Gonzalo G. Alvarez, M.D., M. Sc. (Santé publique), FRCPC
Le Dr Gonzalo Alvarez est un scientifique et pneumologue à L’Hôpital d’Ottawa, un conseiller en tuberculose pour le ministère de la Santé du Nunavut et un professeur adjoint de médecine à l’Université d’Ottawa. En 2011, il a fondé Taima TB, ce qui signifie « éradiquer la tuberculose » en inuktitut. Son programme de recherche vise à aider les Inuits du Canada à mettre fin à la transmission de la tuberculose dans leurs communautés. Il a augmenté les mesures de dépistage de la tuberculose, amélioré le diagnostic et donné accès à de nouvelles thérapies.
Jeffrey L. Reading M. Sc., Ph. D., FCAHS
Jeff Reading est le premier titulaire d’une chaire de recherche en santé et bien-être cardiovasculaires de la British Columbia First Nation Health Authority au St. Paul’s Hospital, et professeur à l’Université Simon Fraser (2016). Le 8 mars 2017, M. Reading a lancé l’I-HEART Centre au St. Paul’s Hospital de Providence Health. Jeff a obtenu son doctorat en sciences de la santé publique à l’Université de Toronto en 1994. Il a été le premier directeur scientifique de l’Institut de la santé des Autochtones des Instituts de recherche en santé du Canada (2000-2008) et est actuellement le président du comité d’examen par les pairs. Les multiples intérêts de Jeff comprennent la santé et le bien-être cardiovasculaires des Premières Nations et la recherche mobilisant les communautés.
Mary Smith, candidate au D. Psy.
Mary Smith utilise une méthodologie autochtone axée sur l’ontologie et l’épistémologie autochtones pour mener sa recherche en collaboration avec la communauté. Son travail sort de l’oubli des méthodes autochtones qui font la lumière sur des récits façonnés par l’histoire de la colonisation. Elle a terminé une autoethnographie rétrospective de l’expérience vécue du don d’un rein qui montre comment la culture et les soins de santé se recoupent. En outre, par l’entremise de sondages et d’entrevues herméneutiques, Mme Smith a exploré l’apprentissage autochtone en formation d’infirmières praticiennes.
Deborah Van Dyk, inf. aut., M. Sc. Inf.
Deborah Van Dyk est une coordonnatrice de la recherche à L’Hôpital d’Ottawa et travaille en tant qu’infirmière de la santé publique au gouvernement du Nunavut. Elle gère le programme de recherche Taima TB depuis sa création en 2011. Taima TB réunit les personnes touchées par la tuberculose et celles qui sont déterminées à l’éradiquer afin de mettre en œuvre et d’évaluer des stratégies innovatrices destinées à arrêter la propagation de la tuberculose. Les partenaires ont reconnu Taima TB comme un modèle de collaboration en recherche en santé.
Renforcement de la capacité de recherche, dans les collectivités et dans le système de santé pour les peuples autochtones
Carrie Bourassa, Ph. D.
Carrie Bourassa est titulaire de la chaire sur la santé des gens du Nord et des Autochtones de l’Institut de recherche Horizon Santé-Nord et directrice scientifique de l’Institut de la santé des Autochtones des Instituts de recherche en santé du Canada. Avant ces nominations récentes en octobre 2016 et février 2017, respectivement, Mme Bourassa était chercheuse communautaire autochtone à l’Université des Premières Nations du Canada et professeure en santé autochtone. En recherche, Carrie s’intéresse notamment aux incidences de la colonisation sur la santé des peuples autochtones, la création de soins culturellement sûrs en prestation de services de santé, une méthodologie de recherche sur la santé autochtone fondée sur les communautés, le VIH et le sida chez les peuples autochtones, les soins palliatifs et de fin de vie chez les peuples autochtones, et la santé des femmes autochtones. Elle est une métisse appartenant au Conseil Métis Riel de Regina, section locale no 34.
Janet Smylie, M.D., M. Ph., FCFP
Janet Smylie est la directrice du Well Living House, un centre de recherche-action visant à favoriser la santé et le bien-être des nourrissons, des enfants et des familles autochtones, ainsi que titulaire d’une chaire de recherche appliquée en santé publique des IRSC et médecin à l’hôpital St. Michael. Son principal poste universitaire est celui de professeur agrégé à l’École de santé publique Dalla Lana de l’Université de Toronto. La recherche de la Dre Smylie, qu’elle effectue en partenariat avec les communautés autochtones, vise principalement à lutter contre les inégalités en santé dont souffrent les Autochtones. La Dre Smylie, qui est métisse, reconnaît sa famille, ses professeurs et sa lodge.
Commanditaires de la réception et de la séance d’information en kiosques
Médicaments novateurs Canada est la voix nationale de l’industrie pharmaceutique innovatrice canadienne. Nous plaidons en faveur de politiques qui permettent la découverte, le développement et la commercialisation de médicaments et vaccins novateurs qui améliorent la vie de tous les Canadiens. Nous appuyons l’engagement de nos membres d’être un partenaire précieux du système de santé canadien.
L’Institut de recherches d’Horizon Santé-Nord (IRHSN) est l’institut de recherches affilié à Horizon Santé-Nord. Son but est de trouver des solutions efficaces et durables aux défis que présentent les soins de santé pour les gens et les collectivités du Nord de l’Ontario. La recherche innovatrice de l’IRHSN porte principalement sur le vieillissement en santé, la médecine personnalisée, les solutions au cancer, les infections et l’immunité, et la santé des gens du Nord et des Autochtones.
Roche Canada (Produits diagnostiques), chef de file du marché dans son secteur, offre un vaste et unique ensemble de produits et des solutions innovatrices aux médecins, aux patients, aux laboratoires, aux hôpitaux et aux chercheurs dans les domaines de la biologie moléculaire, des points d’intervention, de la pathologie, de la chimie clinique, de l’immunologie et des sciences de la vie.
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À la SFU, nous vivons et travaillons sur les territoires traditionnels non cédés des peuples Salish du littoral comprenant les nations xʷməθkwəy̓əm (Musqueam), Skwxwú7mesh (Squamish) et Səl̓ílwətaɬ (Tsleil-Waututh). La SFU s’est engagée à devenir un chef de file mondial en mobilisation du savoir en faisant fond sur une solide base de recherche fondamentale et appliquée. La SFU est fière de ses solides partenariats avec les communautés autochtones et elle demeure déterminée à renforcer son engagement à l’égard de la réconciliation.